Gruchet Geek Convention 4

09 03 2020
Gruchet Geek Convention 4
Pendant deux jours, les 7 et 8 Mars, l'Abbaye du Valasse s'est transformée en temple de la pop culture et du retro-gaming.
Arrivés un peu avant l'ouverture, nous avons pu nous garer dans le parking de l'Abbaye, près de l'entrée de la salle d'expo. On n'a pas attendu très longtemps pour payer notre bracelet passeport qui permet d'entrer et sortir du bâtiment.

Nous avions prévu de commencer par les invités. Avec un peu de chance, il n'y aura pas grand monde au début de la journée.
Moi qui m'attendais à "Bonjour-Autographe-Photo-Au revoir", j'ai été très agréablement surpris. Farod, Jessymitation et Dorothée Pousséo ont été géniaux. Ils ont pris le temps de parler, rigoler avec nous et les enfants.
Je ne connaissais pas les deux premiers, et c'était assez étrange de discuter avec Dorothée Pousséo : j'avais l'impression d'être face à Diana Lombard, la soeur de Martin Mystère (un des nombreux rôles à qui elle prête sa voix).

Quand nous sommes sortis avec les photos signées, on a remarqué la queue grandissante devant le stand de restauration. On a alors décidé de déjeuner. Au menu : burger-frites et panini. On a testé le "okonomiyaki au poulet mariné", une crêpe traditionnelle japonaise. Très bon.

Nous avons ensuite parcourut les divers stands présentant l'attirail classique de la pop culture : t-shirts, tableaux, mugs et autres goodies à l'effigie des héros de mangas, films ou jeux vidéo. D'autres stands montraient leurs créations artistiques spécialement faites pour et pendant la convention auxquelles les jeunes pouvaient participer, impressions 3D, figurines en plomb et objets de collection. Et bien sûr des jeux de plateaux, de rôle, des consoles et des flippers. Je me suis d'ailleurs amusé à Doom 2 sur un vieux PC à l'écran cathodique tournant sous Windows 98 et un Street Fighter sur PlaySation 1.
Dans les allées, se promenait un R2-D2 tournant la tête et cliquetant. En métal, bois et bourré d'électronique, il a été fabriqué par une association de passionnés. Entre sa conception et sa fabrication, il s'est passé près de trois ans. Le résultat est là : on dirait un vrai ! Si bien que les enfants étaient ébahis quand le robot réagissait avec eux, tandis que discrètement caché au fond de son stand, le pilote le télécommandait.

Dans le milieu de l'après-midi, nous avons assisté à un défilé cosplay (déguisements de personnages de fiction) dont certains étaient vraiment bien fait.
Nous avons fait une scéance-photos avec l'équipe de Stark Anim Action : Hulk, Spiderman, Wolverine et ma chérie s'est fait plaisir en prenant la pause avec Raphaël des Tortues Ninja.

La journée est passée à une vitesse folle. On est parti chacun avec un petit souvenir, et plein d'autres dans la tête, emportant aussi un Maneki-neko doré, le chat porte-bonheur japonais qui balance le bras.
Sur le chemin du retour, on s'est promis de revenir l'année prochaine.


Ah, j'ai failli oublier : on a rencontré l'inspecteur Colombo (Didier Bouch) qui bien sûr, cherchait sa femme.