Un Pfizer sinon rien

17 05 2021
Un Pfizer sinon rien
J'ai eu la première dose du vaccin contre le Covid-19, et pas de zombification ni de tentacule dans le dos a déclarer. Je ne reçois même pas la 5G.
Lundi matin, à 9h15, je me présentais devant le Stade Océane afin de recevoir ma première dose de vaccin Comirnaty Pfizer/BioNTech prévue à 9h30 selon mon rendez-vous. Je suis ressorti piqué à 10h30mm.
Une heure pour une piqûre, ça peut paraître long mais le respect des distanciations physiques n'est pas compatible avec la précipitation.

L'organisation est vraiment au top.
A chaque étape, une personne vous guide pour passer à la suivante. De la salle d'attente jusqu'à l'ascenseur, de l'ascenseur jusqu'à une autre salle, la file d'attente, l'infirmière, la salle d'attente 15mn pour finir avec le certificat de vaccination, il y a toujours quelqu'un avec vous. Impossible de se perdre, même si l'on n'a pas le sens de l'orientation.
Il fallait bien un petit bug dans ce rouage bien huilé qui se trouve, comme de bien entendu, du côté administratif car les feuilles que remplissent les médecins ne sont pas à jour. Le gouvernement a déclaré un élargissement de la vaccination aux plus de 50 ans la semaine dernière, mais la case à cocher dans "raison de vaccination" n'existe pas.

Puis vient le moment tant redouté de... LA PIQÛRE !!!
Je voyais déjà l'infirmière au casque de Jason me perforer le bras avec une énorme seringue à air comprimé munie d'une aiguille en forme de harpon, mon bras gonfler à mesure que le liquide pénétre mon muscle pour ensuite agoniser dans les atroces douleurs des effets secondaires... Aaaaaaargh !
Mais non, l'infirmère y a été en douceur, et ce n'est qu'en fin d'après-midi qu'une légère douleur dans le bras s'est réveillée.

Voilà ça y est, j'ai passé la première étape sans problème, mais c'est pas pour autant que je vais crier "vivement la prochaine injection !". Faut pas pousser non plus.