Week-end camping
Un petit tour du côté de Saint-Jouin-Bruneval, pour un séjour en solitaire.
Je cherchais un peu de tranquillité et d'isolement afin de retrouver ce qui me manque depuis un bon moment : l'inspiration.
Depuis que j'ai fini "Datkin" je n'ai plus d'idée, ou alors je les démonte en deux paragraphes car j'estime qu'elles ne tiennent pas la route. De plus, j'ai des difficultés à écrire à la maison. Entre l'envie de passer du temps avec ma chérie, la fainéantise devant la télé ou le téléphone, le va-et-vient des enfants je me suis dit que cela pourrait être bénéfique de s'éloigner de mon quotidien juste pour 48 heures.
Donc me voici, vendredi soir, au camping "les Galets du Grand Hameau" dans la commune de Saint-Jouin-Bruneval. Je prends le temps de m'installer et de reconnaître les lieux (où sont les sanitaires ?), puis dîner en boîte, consultation du téléphone, premières notes et dodo.
Samedi, j'ouvre un oeil vers 9 heures... Pas de bruit, pas de cris... J'ouvre le second oeil une demi-heure plus tard, et la journée peux commencer. Petit-déjeuner : gateaux fourrés goût vanille et jus de pomme. Ouais pas top, mais pour deux nuits j'allais pas m'encombrer d'un réchaud.
Après relecture des écrits de la veille, la motivation prit un coup de mou. C'était pas franchement bon. Pas nul, mais pas vraiment exploitable en l'état. Dans ce cas, un seul remède : la plage.
Elle ne semblait pas très loin, même en empruntant le chemin des écoliers... Mais après avoir longé la falaise, fait quelques détours et descendu un sentier en pente raide, avec des marches éparses et inégales, tant par la taille que par l'écart les séparant, juste aidé par une rampe en corde, ça à mit plus d'une heure trente !
Et bien sûr, après un peu de repos, j'ai eu le courage de repartir en sens inverse, par le même chemin. Je peux vous assurer que lorsque je suis arrivé au camping, j'étais épuisé.
Fin de journée rapide, gribouillant d'une main et mangeant de l'autre, quelques SMS et finir au fond du sac de couchage en regardant un film sur le téléphone.
Dimanche, je voulais me réveiller tôt car la pluie était prévue pour le milieu de matinée et je voulais remballer la tente avant les premières gouttes.
Même petit-déjeuner que la veille : gateaux fourrés goût vanille et jus de pomme. Voilà ce qui m'a vraiment manqué le matin : le café du petit-déj'. (Je sens que ma chérie va me faire la tête sur ce coup-là).
Le temps de ranger la tente et de faire un brin de toilette, il commençait à pleuvoir et il était temps de rentrer.
Pour résumer, je n'ai pas écrit grand chose, voire pas grand chose du tout, mais il y a un bon côté à tout ça: c'était un petit week-end relaxant.
Qu'il est bon de rentrer chez soi. Retrouver son petit nid douillet, sa chérie, la belle-fille et surtout... son lit. Parce que le matelas que j'avais prit pour camper était trop fin et j'ai mal dormi.
Depuis que j'ai fini "Datkin" je n'ai plus d'idée, ou alors je les démonte en deux paragraphes car j'estime qu'elles ne tiennent pas la route. De plus, j'ai des difficultés à écrire à la maison. Entre l'envie de passer du temps avec ma chérie, la fainéantise devant la télé ou le téléphone, le va-et-vient des enfants je me suis dit que cela pourrait être bénéfique de s'éloigner de mon quotidien juste pour 48 heures.
Donc me voici, vendredi soir, au camping "les Galets du Grand Hameau" dans la commune de Saint-Jouin-Bruneval. Je prends le temps de m'installer et de reconnaître les lieux (où sont les sanitaires ?), puis dîner en boîte, consultation du téléphone, premières notes et dodo.
Samedi, j'ouvre un oeil vers 9 heures... Pas de bruit, pas de cris... J'ouvre le second oeil une demi-heure plus tard, et la journée peux commencer. Petit-déjeuner : gateaux fourrés goût vanille et jus de pomme. Ouais pas top, mais pour deux nuits j'allais pas m'encombrer d'un réchaud.
Après relecture des écrits de la veille, la motivation prit un coup de mou. C'était pas franchement bon. Pas nul, mais pas vraiment exploitable en l'état. Dans ce cas, un seul remède : la plage.
Elle ne semblait pas très loin, même en empruntant le chemin des écoliers... Mais après avoir longé la falaise, fait quelques détours et descendu un sentier en pente raide, avec des marches éparses et inégales, tant par la taille que par l'écart les séparant, juste aidé par une rampe en corde, ça à mit plus d'une heure trente !
Et bien sûr, après un peu de repos, j'ai eu le courage de repartir en sens inverse, par le même chemin. Je peux vous assurer que lorsque je suis arrivé au camping, j'étais épuisé.
Fin de journée rapide, gribouillant d'une main et mangeant de l'autre, quelques SMS et finir au fond du sac de couchage en regardant un film sur le téléphone.
Dimanche, je voulais me réveiller tôt car la pluie était prévue pour le milieu de matinée et je voulais remballer la tente avant les premières gouttes.
Même petit-déjeuner que la veille : gateaux fourrés goût vanille et jus de pomme. Voilà ce qui m'a vraiment manqué le matin : le café du petit-déj'. (Je sens que ma chérie va me faire la tête sur ce coup-là).
Le temps de ranger la tente et de faire un brin de toilette, il commençait à pleuvoir et il était temps de rentrer.
Pour résumer, je n'ai pas écrit grand chose, voire pas grand chose du tout, mais il y a un bon côté à tout ça: c'était un petit week-end relaxant.
Qu'il est bon de rentrer chez soi. Retrouver son petit nid douillet, sa chérie, la belle-fille et surtout... son lit. Parce que le matelas que j'avais prit pour camper était trop fin et j'ai mal dormi.
