O tanjôbi omedetô gozaimasu Pac-Man !
Rond comme un ballon, et plus jaune qu'un citron, c'est lui Pac-Man...Pac-Man.
Ce 22 mai 2020, la petite boule jaune fête ses 40 ans.
Ce 22 mai 2020, la petite boule jaune fête ses 40 ans.
L'histoire commence en 1979, quand l'entreprise Namco, spécialiste dans la diffusion de jeu vidéo, demande à Toru Itawani d'imaginer un nouveau concept de jeu original dans un marché innondé de jeux de tirs type Space Invaders.
Avec une petite équipe, Toru Itawani pose les bases : ce doit être un jeu avec des règles simples et qui pourrait intéresser les filles comme les garçons. Les jeunes aiment manger des friandises, le héro doit en manger. Ses ennemis, les fantômes, doivent être de couleurs pastel et ne pas faire peur.
Son look, il le doit à une pizza entamée qui a inspiré son créateur et son premier nom, Puck-Man, vient de l'onomatopée "paku paku" représentant l'action d'ouvrir et de fermer la bouche en mangeant. Mais Namco décide le changer, craignant que les adolescents qui fréquentaient les salles d'arcade ne s'amusent à modifier le "P" en "F", ce qui n'aurait pas été du meilleur goût pour un jeu populaire. Ainsi fut choisi Pac-Man.
Le principe du jeu est simple, Pac-Man doit manger toutes les pac-gommes du plateau en évitant les fantômes Inky (rouge), Pinky (rose), Blinky (rouge) et Clyde (orange). Les super-pac-gommes vont lui permettre, pendant une durée limitée, de les poursuivre et de les croquer pour les renvoyer dans la salle centrale. Afin d'ajouter de l'intérêt au jeu, Toru Itawani donne à chaque fantôme son propre système de déplacement : Blinky suit Pac-Man ; Pinky vise l'endroit où va se diriger Pac-Man ; Inky choisi de suivre Pac-Man ou de prendre la direction opposée ; Clyde prend des directions aléatoires. Le but est de faire le plus haut score en traversant les tableaux à l'infini mais, dans les versions originales, le 256ème niveau contient un bug "Kill Screen" qui le rend injouable.
Le 22 mai 1980, Pac-Man arrive sur le marché et c'est un succès immédiat, si bien qu'aujourd'hui encore Pac-Man est un point de repère dans l'histoire du jeu vidéo. Jamais Toru Iwatani n'aurait pu l'imaginer.
Les adaptations se sont ensuite succédées : dessins-animés, améliorations graphiques, 3D et une apparition remarquée dans le film "Pixels" de Chris Colombus en 2015.
Une telle réussite serait bien difficile de nos jours tant le marché du jeu vidéo est saturé.
Avec une petite équipe, Toru Itawani pose les bases : ce doit être un jeu avec des règles simples et qui pourrait intéresser les filles comme les garçons. Les jeunes aiment manger des friandises, le héro doit en manger. Ses ennemis, les fantômes, doivent être de couleurs pastel et ne pas faire peur.
Son look, il le doit à une pizza entamée qui a inspiré son créateur et son premier nom, Puck-Man, vient de l'onomatopée "paku paku" représentant l'action d'ouvrir et de fermer la bouche en mangeant. Mais Namco décide le changer, craignant que les adolescents qui fréquentaient les salles d'arcade ne s'amusent à modifier le "P" en "F", ce qui n'aurait pas été du meilleur goût pour un jeu populaire. Ainsi fut choisi Pac-Man.
Le principe du jeu est simple, Pac-Man doit manger toutes les pac-gommes du plateau en évitant les fantômes Inky (rouge), Pinky (rose), Blinky (rouge) et Clyde (orange). Les super-pac-gommes vont lui permettre, pendant une durée limitée, de les poursuivre et de les croquer pour les renvoyer dans la salle centrale. Afin d'ajouter de l'intérêt au jeu, Toru Itawani donne à chaque fantôme son propre système de déplacement : Blinky suit Pac-Man ; Pinky vise l'endroit où va se diriger Pac-Man ; Inky choisi de suivre Pac-Man ou de prendre la direction opposée ; Clyde prend des directions aléatoires. Le but est de faire le plus haut score en traversant les tableaux à l'infini mais, dans les versions originales, le 256ème niveau contient un bug "Kill Screen" qui le rend injouable.
Le 22 mai 1980, Pac-Man arrive sur le marché et c'est un succès immédiat, si bien qu'aujourd'hui encore Pac-Man est un point de repère dans l'histoire du jeu vidéo. Jamais Toru Iwatani n'aurait pu l'imaginer.
Les adaptations se sont ensuite succédées : dessins-animés, améliorations graphiques, 3D et une apparition remarquée dans le film "Pixels" de Chris Colombus en 2015.
Une telle réussite serait bien difficile de nos jours tant le marché du jeu vidéo est saturé.
|
|
© leblogduncledid - 21 05 2020
|
