Exposition
Du 23 février au 14 avril 2019, au Musée d'Art Moderne André Malraux, sont réunies les oeuvres de 11 havrais partis en résidence aux quatre coins de la planète.
L'art moderne, c'est pas ma tasse de thé, j'y suis allé par curiosité... mais aussi parce que j'étais invité.
Les artistes font partis de "La Bande des Havrais, des résidences d’artistes havrais autour du monde" : Patrice Balvay, Delphine Boeschlin, Kévin Cadinot, Christophe Guérin, Agnès Maupré, François Trocquet, La BaZooka (Etienne Cuppens & Sarah Crépin), Bray, Laure Delamotte-Legrand, Sébastien Jolivet et Juliette Richards.
"L'art ne s'explique pas, il se ressent."
Cette citation de Liliwenn, artiste bretonne, résume tout à fait l'exposition. Quelques oeuvres étaient intéressantes : des fauteuils en bois recouverts d'une mousse industrielle carrée où l'on pouvait écouter la musique de J. Richards, de grands dessins abstraits aux lignes colorées faites à la craies par P. Balvay.
D'autres amusantes : les photos du duo La BaZooka aux déguisements faits d'oreillers style "peluches lapins" dans des positions drôles et leur canapé couette-oreiller, une salle dans laquelle était reproduite le studio d'un artiste, une peluche à son effigie s'extasiant devant un écran de télé.
Et d'autres qui m'ont laissé perplexe : des cadres en verre posés au sol sous un cadre brisé accroché au mur, la projection d'une vidéo en petit format (une main peignant au pinceau) sur une réplique de pierre. Une grande partie du rez-de-chaussée est dédiée à l'exposition.
Elle ne m'a pas laissé indifférent, je n'ai pas été transporté par les oeuvres mais pas déçu d'y avoir passé une petite heure.
Les artistes font partis de "La Bande des Havrais, des résidences d’artistes havrais autour du monde" : Patrice Balvay, Delphine Boeschlin, Kévin Cadinot, Christophe Guérin, Agnès Maupré, François Trocquet, La BaZooka (Etienne Cuppens & Sarah Crépin), Bray, Laure Delamotte-Legrand, Sébastien Jolivet et Juliette Richards.
"L'art ne s'explique pas, il se ressent."
Cette citation de Liliwenn, artiste bretonne, résume tout à fait l'exposition. Quelques oeuvres étaient intéressantes : des fauteuils en bois recouverts d'une mousse industrielle carrée où l'on pouvait écouter la musique de J. Richards, de grands dessins abstraits aux lignes colorées faites à la craies par P. Balvay.
D'autres amusantes : les photos du duo La BaZooka aux déguisements faits d'oreillers style "peluches lapins" dans des positions drôles et leur canapé couette-oreiller, une salle dans laquelle était reproduite le studio d'un artiste, une peluche à son effigie s'extasiant devant un écran de télé.
Et d'autres qui m'ont laissé perplexe : des cadres en verre posés au sol sous un cadre brisé accroché au mur, la projection d'une vidéo en petit format (une main peignant au pinceau) sur une réplique de pierre. Une grande partie du rez-de-chaussée est dédiée à l'exposition.
Elle ne m'a pas laissé indifférent, je n'ai pas été transporté par les oeuvres mais pas déçu d'y avoir passé une petite heure.
